VEGETOSERUM ENFANTS, sirop, flacon ( cuillère-mesure de 5 ml) de 150 ml
Retiré du marché le : 27/02/2009
Dernière révision : 23/08/2001
Taux de TVA : 2.1%
Prix de vente : 1,44 €
Taux remboursement SS : 30%
Base remboursement SS : 1,44 €
Laboratoire exploitant : AEROCID
Traitement symptomatique des toux non productives gênantes.
CONTRE-INDIQUE :
Ce médicament ne doit pas être utilisé en cas de :
- allergie à l'un des constituants,
- insuffisance respiratoire,
- toux de l'asthmatique,
- allaitement : le chlorhydrate d'éthylmorphine passe dans le lait maternel ; avec la codéine, quelques cas d'hypotonie et de pauses respiratoires ont été décrits chez des nourrissons, après ingestion par les mères de codéine à doses suprathérapeutiques. En cas d'allaitement, et par extrapolation avec la codéine, la prise de ce médicament est contre-indiquée.
DECONSEILLE :
Ce médicament est généralement déconseillé en association avec (voir interactions) l'alcool.
Ce médicament ne doit pas être utilisé en cas de :
- allergie à l'un des constituants,
- insuffisance respiratoire,
- toux de l'asthmatique,
- allaitement : le chlorhydrate d'éthylmorphine passe dans le lait maternel ; avec la codéine, quelques cas d'hypotonie et de pauses respiratoires ont été décrits chez des nourrissons, après ingestion par les mères de codéine à doses suprathérapeutiques. En cas d'allaitement, et par extrapolation avec la codéine, la prise de ce médicament est contre-indiquée.
DECONSEILLE :
Ce médicament est généralement déconseillé en association avec (voir interactions) l'alcool.
MISES EN GARDE :
Réservé à l'enfant de plus de 20 kg.
- Un traitement prolongé à forte dose peut conduire à un état de dépendance.
- Les toux productives qui sont un élément fondamental de la défense bronchopulmonaire sont à respecter.
- Il est illogique d'associer un expectorant ou mucolytique à un antitussif.
- Avant de prescrire un traitement antitussif, il convient de rechercher les causes de la toux qui requièrent un traitement spécifique.
- Si la toux résiste à un antitussif administré à une posologie usuelle, on ne doit pas procéder à une augmentation des doses, mais à un réexamen de la situation clinique.
- L'attention des sportifs sera attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Prudence en cas d'hypertension intracrânienne qui pourrait être majorée.
- La prise de boissons alcoolisées et des médicaments contenant de l'alcool (voir interactions) pendant le traitement est déconseillée.
- En cas de diabète ou de régime hypoglucidique, tenir compte de la teneur en saccharose (3,9 g par cuillère-mesure).
- Grossesse : il n'y a pas d'étude de tératogenèse disponible chez l'animal. En clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique n'est apparu à ce jour. Toutefois, le suivi de grossesses exposées au chlorhydrate d'éthylmorphine (codéthyline) est insuffisant pour exclure tout risque. Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique de codéthyline par la mère, et cela quelle que soit la dose, peut être à l'origine d'un syndrome de sevrage chez le nouveau-né. En fin de grossesse, des posologies élevées, même en traitement bref, sont susceptibles d'entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né. En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser la codéthyline pendant la grossesse.
Réservé à l'enfant de plus de 20 kg.
- Un traitement prolongé à forte dose peut conduire à un état de dépendance.
- Les toux productives qui sont un élément fondamental de la défense bronchopulmonaire sont à respecter.
- Il est illogique d'associer un expectorant ou mucolytique à un antitussif.
- Avant de prescrire un traitement antitussif, il convient de rechercher les causes de la toux qui requièrent un traitement spécifique.
- Si la toux résiste à un antitussif administré à une posologie usuelle, on ne doit pas procéder à une augmentation des doses, mais à un réexamen de la situation clinique.
- L'attention des sportifs sera attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Prudence en cas d'hypertension intracrânienne qui pourrait être majorée.
- La prise de boissons alcoolisées et des médicaments contenant de l'alcool (voir interactions) pendant le traitement est déconseillée.
- En cas de diabète ou de régime hypoglucidique, tenir compte de la teneur en saccharose (3,9 g par cuillère-mesure).
- Grossesse : il n'y a pas d'étude de tératogenèse disponible chez l'animal. En clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique n'est apparu à ce jour. Toutefois, le suivi de grossesses exposées au chlorhydrate d'éthylmorphine (codéthyline) est insuffisant pour exclure tout risque. Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique de codéthyline par la mère, et cela quelle que soit la dose, peut être à l'origine d'un syndrome de sevrage chez le nouveau-né. En fin de grossesse, des posologies élevées, même en traitement bref, sont susceptibles d'entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né. En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser la codéthyline pendant la grossesse.
- Aux doses thérapeutiques : les effets indésirables du chlorhydrate d'éthylmorphine sont comparables à ceux des autres opiacés, mais ils sont plus rares et plus modérés.
. Possibilité de constipation, somnolence, états vertigineux, nausées, vomissements.
. Rarement : bronchospasme, réactions cutanées allergiques, dépression respiratoire (voir contre-indications).
- Aux doses suprathérapeutiques : il existe un risque de dépendance et de syndrome de sevrage à l'arrêt brutal, qui peut être observé chez l'utilisateur et chez le nouveau-né de mère toxicomane.
. Possibilité de constipation, somnolence, états vertigineux, nausées, vomissements.
. Rarement : bronchospasme, réactions cutanées allergiques, dépression respiratoire (voir contre-indications).
- Aux doses suprathérapeutiques : il existe un risque de dépendance et de syndrome de sevrage à l'arrêt brutal, qui peut être observé chez l'utilisateur et chez le nouveau-né de mère toxicomane.
Grossesse :
Il n'y a pas d'étude de tératogenèse disponible chez l'animal.
En clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique n'est apparu à ce jour. Toutefois, le suivi de grossesses exposées au chlorhydrate d'éthylmorphine (codéthyline) est insuffisant pour exclure tout risque.
Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique de codéthyline par la mère, et cela quelle que soit la dose, peut être à l'origine d'un syndrome de sevrage chez le nouveau-né.
En fin de grossesse, des posologies élevées, même en traitement bref, sont susceptibles d'entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.
En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser la codéthyline pendant la grossesse.
Allaitement :
Le chlorhydrate d'éthylmorphine (codéthyline) passe dans le lait maternel ;avec la codéine, quelques cas d'hypotonie et de pauses respiratoires ont été décrits chez des nourrissons, après ingestion par les mères de codéine à doses suprathérapeutiques. En cas d'allaitement, et par extrapolation avec la codéine, la prise de ce médicament est contre-indiquée.
Il n'y a pas d'étude de tératogenèse disponible chez l'animal.
En clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique n'est apparu à ce jour. Toutefois, le suivi de grossesses exposées au chlorhydrate d'éthylmorphine (codéthyline) est insuffisant pour exclure tout risque.
Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique de codéthyline par la mère, et cela quelle que soit la dose, peut être à l'origine d'un syndrome de sevrage chez le nouveau-né.
En fin de grossesse, des posologies élevées, même en traitement bref, sont susceptibles d'entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.
En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser la codéthyline pendant la grossesse.
Allaitement :
Le chlorhydrate d'éthylmorphine (codéthyline) passe dans le lait maternel ;avec la codéine, quelques cas d'hypotonie et de pauses respiratoires ont été décrits chez des nourrissons, après ingestion par les mères de codéine à doses suprathérapeutiques. En cas d'allaitement, et par extrapolation avec la codéine, la prise de ce médicament est contre-indiquée.
ASSOCIATIONS DECONSEILLEES :
Alcool :
Majoration par l'alcool de l'effet sédatif des antitussifs centraux. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.
ASSOCIATIONS A PRENDRE EN COMPTE :
Autres dépresseurs du SNC (analgésiques ou antitussifs morphiniques, certains antidépresseurs, les antihistaminiques H1 sédatifs, barbituriques, benzodiazépines, clonidine et apparentés, hypnotiques, neuroleptiques, tranquillisants autres que benzodiazépines) :
Majoration de la dépression centrale pouvant avoir des conséquences importantes, notamment en cas de conduite automobile ou d'utilisation de machines.
Alcool :
Majoration par l'alcool de l'effet sédatif des antitussifs centraux. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.
ASSOCIATIONS A PRENDRE EN COMPTE :
Autres dépresseurs du SNC (analgésiques ou antitussifs morphiniques, certains antidépresseurs, les antihistaminiques H1 sédatifs, barbituriques, benzodiazépines, clonidine et apparentés, hypnotiques, neuroleptiques, tranquillisants autres que benzodiazépines) :
Majoration de la dépression centrale pouvant avoir des conséquences importantes, notamment en cas de conduite automobile ou d'utilisation de machines.
RESERVE A L'ENFANT DE PLUS DE 20 KG (soit environ 6 ans).
Voie orale.
1 cuillère-mesure contient 2 mg de chlorhydrate d'éthylmorphine (ou codéthyline).
Le traitement symptomatique doit être court (quelques jours) et limité aux horaires où survient la toux.
En l'absence d'autre prise médicamenteuse apportant du chlorhydrate d'éthylmorphine ou tout autre antitussif central, la dose quotidienne de chlorhydrate d'éthylmorphine à ne pas dépasser est de 0,6 mg/kg chez l'enfant de 20 à 50 kg (environ 6 à 15 ans).
La posologie usuelle est de :
- chez l'enfant de 40 à 50 kg (soit environ de 12 à 15 ans) : 3 cuillères-mesure par prise, à renouveler au bout de 6 heures en cas de besoin, sans dépasser 12 cuillères-mesure par jour.
- chez l'enfant de 30 à 40 kg (soit environ de 10 à 12 ans) : 2 cuillères-mesure par prise, à renouveler au bout de 6 heures en cas de besoin, sans dépasser 8 cuillères-mesure par jour.
- chez l'enfant de 20 à 30 kg (soit environ de 6 à 10 ans) : 1 cuillère-mesure par prise, à renouveler au bout de 6 heures en cas de besoin, sans dépasser 4 cuillères mesure par jour.
Les prises devront être espacées de 6 heures.
Les âges approximatifs en fonction du poids sont donnés à titre indicatif.
Voie orale.
1 cuillère-mesure contient 2 mg de chlorhydrate d'éthylmorphine (ou codéthyline).
Le traitement symptomatique doit être court (quelques jours) et limité aux horaires où survient la toux.
En l'absence d'autre prise médicamenteuse apportant du chlorhydrate d'éthylmorphine ou tout autre antitussif central, la dose quotidienne de chlorhydrate d'éthylmorphine à ne pas dépasser est de 0,6 mg/kg chez l'enfant de 20 à 50 kg (environ 6 à 15 ans).
La posologie usuelle est de :
- chez l'enfant de 40 à 50 kg (soit environ de 12 à 15 ans) : 3 cuillères-mesure par prise, à renouveler au bout de 6 heures en cas de besoin, sans dépasser 12 cuillères-mesure par jour.
- chez l'enfant de 30 à 40 kg (soit environ de 10 à 12 ans) : 2 cuillères-mesure par prise, à renouveler au bout de 6 heures en cas de besoin, sans dépasser 8 cuillères-mesure par jour.
- chez l'enfant de 20 à 30 kg (soit environ de 6 à 10 ans) : 1 cuillère-mesure par prise, à renouveler au bout de 6 heures en cas de besoin, sans dépasser 4 cuillères mesure par jour.
Les prises devront être espacées de 6 heures.
Les âges approximatifs en fonction du poids sont donnés à titre indicatif.
Durée de conservation :
4 ans.
Précautions particulières de conservation :
A conserver à une température ne dépassant pas 30°C.
4 ans.
Précautions particulières de conservation :
A conserver à une température ne dépassant pas 30°C.
Sans objet.
- Signes chez l'adulte :
. dépression aiguë des centres respiratoires (cyanose, bradypnée),
. somnolence, rash, vomissements,
. prurit,
. ataxie.
- Signes chez l'enfant : (Seuil toxique : 2 mg/kg en prise unique)
. bradypnée, pauses respiratoires,
. myosis,
. convulsions,
. flush et oedème du visage,
. éruption urticarienne, collapsus,
. rétention d'urine.
- Traitement :
. assistance respiratoire,
. naloxone en cas d'intoxication massive.
. dépression aiguë des centres respiratoires (cyanose, bradypnée),
. somnolence, rash, vomissements,
. prurit,
. ataxie.
- Signes chez l'enfant : (Seuil toxique : 2 mg/kg en prise unique)
. bradypnée, pauses respiratoires,
. myosis,
. convulsions,
. flush et oedème du visage,
. éruption urticarienne, collapsus,
. rétention d'urine.
- Traitement :
. assistance respiratoire,
. naloxone en cas d'intoxication massive.
ANTITUSSIF OPIACE.
(R : système respiratoire).
Chlorhydrate d'éthylmorphine : alcaloïde de l'opium ; antitussif d'action centrale, ayant un effet dépresseur sur les centres respiratoires.
(R : système respiratoire).
Chlorhydrate d'éthylmorphine : alcaloïde de l'opium ; antitussif d'action centrale, ayant un effet dépresseur sur les centres respiratoires.
Métabolisme hépatique,
Traverse le placenta et diffuse dans le lait maternel.
Traverse le placenta et diffuse dans le lait maternel.
L'attention est appelée, notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les risques de somnolence attachés à l'emploi de ce médicament.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Absence d'information dans l'AMM.
Flacon (verre brun) de 150 ml et bouchon (polyéthylène basse densité). Cuillère-mesure de 5 ml (polystyrène).